Dans les années 70 de nombreux films « sérieux » étaient détournés par insertions de séquences pornographiques. Même dans la BD les détournements existaient, je me souviens d’un Gottlieb où l’on voit Jean Valjean se faire sucer par Causette ! J’ai entrepris la rédaction, sur ce modèle, de textes s’insérant dans la plupart de nos classiques. Dès mes premières lectures des grands romans du XIXème siècle, je me suis senti frustré : où étaient passées les scènes de sexe où on pouvait voir Julien en train de sodomiser madame de Rênal, comment a-t-il pu enceinter Mathilde sans qu’on le voit la pénétrer ? Pourquoi de grands garçons dans la force de leur puberté ne se montrent jamais à poil, en pleine fellation ou enfilade ? Meaulnes le magnifique devait avoir une verge admirable ! Et la chatte de Madame Bovary, vous y pensez à la chatte d’Emma Bovary ? Stendhal, Alain-Fournier, Flaubert, Hugo et bien d’autres vont ouvrir les portes de ces chambres closes où leurs héros se sont livrés à corps perdus aux déchaînements de tous leurs appétits de sexe. Ne souffrez plus, les grands écrivains se sont lâchés pour nous plonger dans un stupre de qualité et des fornications de luxe !